Les journées n’avaient plus de poids dans la ville d’Orléans, dès maintenant soumise à un gent artificiel dicté par la régulation lumineuse. Tandis que la majeure partie des citoyens suivait un rythme imposé par les interfaces centrales, les archivistes, eux, vivaient au cours des jugements. Le temps n’était plus linéaire https://beaunftck.blogminds.com/les-circuits-de-la-effarouchement-31355824