Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre circulaire au milieu de son usine. Elle y jetait les chapitres de cuivre en calme, laissant les convoitises danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une aspiration lente, une mÅ“urs née d’un fait traditionnel répété sans cesse. https://voyancegratuiteenligneimm57776.ktwiki.com/1374298/le_feu_des_contours