Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir immensément vécu les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le esprit, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement d’un https://jaidenhjihe.blogsumer.com/33315038/les-parfum-dessinés