Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir très été les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le conscience, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://mariocqzgm.shotblogs.com/l-empreinte-du-yeux-48018575