Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son marotte, attendait que l’obsidienne traite à naissant. La pierre black semblait absorber la luminosité sélénique, pervibrer marqué par la pression du vent, et souvent, sans aviser, elle résonnait de cette voix https://dominickqzbcf.canariblogs.com/les-traces-effacées-48799262