La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son métier dans l’ombre tamisée de son ateliers. Son poste de travail à inventer, fidèle animal de compagnie de ses voyances silencieuses, laissait évoluer des fils d’or et de soie entre ses tout. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque vivant, https://alexissivgt.blogaritma.com/32115905/l-étoffe-du-destin