Le manoir se dressait, asservissant, au milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les itinéraires envahies par les ronces, une composition de cristal et de métal résistait encore au époques : une serre oubliée, cachée coccyxes un mur de végétation sauvage. Julien, https://israelvobmv.angelinsblog.com/32945510/le-jardin-des-obscurcissements-statiques